Adam en dédicaces le 15 octobre
Une petite fille qui se pose de grandes questions… Maya est une petite fille qui s’interroge sur le monde qui l’entoure en compagnie de son pote Leonardo, un petit garçon taciturne qui se désole de n’avoir encore rien fait de fondamental à l’âge de 8 ans ! Est-ce que Dieu existe ? Pourquoi les végétaux sont-ils sensibles à […]
Denis Bodart en dédicaces le 8 octobre
SAINT-GERMAIN DES MORTS de Denis Bodart et Alain Streng, nominé à l’Alph-Art d’Angoulême en 1986, fut une gifle pour le monde de la BD ! Les Editions du Tiroir viennent de rééditer cet album en l’améliorant de 16 pages (crayonnés de planchess de cette histoire, dessinée aujourd’hui, 35 ans plus tard, cinq planches de ce […]
Lettre électronique
Atomik Strip sur Facebook
L’instant nouveau-thé : Kotaro en solo par Mami Tsumura et édité chez Panini
Un titre que j’attendais particulièrement après avoir vu quelques extraits de l’anime par-ci par-là. Il avait l’air particulièrement prometteur malgré un style graphique assez spécial au premier abord. Quel bonheur de ne pas m’être arrêté à cela.
Kotaro, 4 ans, emménage seul dans une résidence à appartements. Un enfant qui parle d’une manière vieillotte, étrangement adulte malgré ses bizarreries et qui va très vite s’attirer la sympathie de ses voisins touchés par ce petit garçon. Kotaro semble d’ailleurs souvent plus adulte qu’eux.
Une histoire simple, sans fioritures ni intrigues complexes. Uniquement l’histoire de vie et le quotidien d’un petit garçon qui n’a plus de famille mais avance dans ce monde.
Un rythme doux qui porte le lecteur sans la moindre difficulté et pourtant que ma lecture a été compliquée, profondément triste mais impossible de m’arrêter. Partagé entre la peine et une envie irrépressible de découvrir la suite et surtout une issue heureuse pour ce petit si touchant.
Rien de gore ou d’abominable mais une violence symbolique si forte dans la situation de cet enfant face auquel personne n’ose rien dire de peur de le faire s’écrouler.
Kotaro en solo m’a déchiré le cœur des premières pages jusqu’à la dernière de ce tome 1 et c’est en ça que l’écriture est brillante. Il n’y a, parfois, pas besoin d’en faire des tonnes. Un simple quotidien peut être plus impactant, plus efficace que n’importe quoi d’autre.
Je ne peux que conseiller de franchir le pas et de se laisser séduire par ce titre qui sort tant de l’ordinaire. Tenter l’expérience de Kotaro en solo, c’est, malgré la dureté, s’offrir un moment de lecture tellement unique et magnifique.
La série est finie en version originale et comptera donc 10 tomes avant de se conclure. Le second sortant début mai.
Carlu-Koro
envoi en cours...